HYPHES
Création 2021
Une pièce chorégraphique, poétique et sonore pour 12 danseur.se.s
Après la pièce Hors Chant qui abordait le rapport à l'autre de manière sensible et responsable, nous avons eu envie de prolonger notre exploration au vivant dans son ensemble notamment autour de l'arbre.
Une écriture collective
La compagnie explore à travers une tribu imaginaire, une forme de relation plus élargie au vivant.
Le public est invité à retrouver le chemin du lien avec l'arbre, trait d'union entre ciel et terre, un rapport au Monde dans un temps suspendu et poétique...
Le public est équipé de casques audio pour une écoute intime et sensible sans pour autant exclure la conscience du groupe.
Durée : 45 minutes
Une création collective avec :
Fanny Aguado, Léontine Bonne, Nathalie Chastre, Jean-Baptiste Clément, Laura Constensou, Corine Debard, Christiane et Marc Guiochet, Danielle Kool, Stéphanie Morier, Thomas Pélissier, Sandra Roux, Adeline Sureau, Mathilde Terral et Philippe Zanin.
Avec l'aide de :
Dominique Bex, Emmanuel Clémenceau, Anne Gascoin, Elodie Madebos et Daniel Roblin.
Soutiens :
Communauté de communes Cauvaldor, le Conseil Départemental du Lot, le Grand Figeac, les mairies de Saint-Céré et de Sousceyrac-en-Quercy, l'Orange Fluo.


Crédit photos Léa Coispel
Hors chant
Une écriture sonore et chorégraphique collective
En partant du « Chant du monde » de Jean Lurçat, nous nous sommes questionnés sur « les grandes menaces » d’aujourd’hui, de celles qui nous touchent directement : l’environnement, le déplacement des populations, la frontière. Mais face à ces inquiétudes, comment garder l’espoir et tisser les espérances de demain ? Une écriture sonore s’est construite autour d’écrits et de paroles d’auteurs ou de comédiens tels Jeanne Moreau, Pierre Cendors, Pascal Quignard, Régis Debray, Edgar Morin, Cynthia Fleury. Le scénario sonore vient servir la chorégraphie. Comme sur la tapisserie « La Poésie » où le Sagittaire porte les flèches de son regard sur le cosmos, la déambulation nous entraîne du plus proche au plus loin, de la surface de la peau à la surface du monde.
Une déambulation dans l’espace public à l’écoute de la bande son diffusée dans des casques HF.
Une ville, un village, un mur, une place, une ruelle, des spectateurs. Dès son arrivée, le public est pris en charge dans une attente, ambiance hall de gare, ticket carte d’embarquement, remise des casques.
Durée du spectacle : 40 minutes.
Écriture de scénario de la bande son (travail sur le texte, choix musicaux, montage sonore) : Nathalie Chastre et Marc Guiochet
Chorégraphe : Christiane Guiochet
Photographies : Daniel Roblin

Crédit photo Céline
Bonjour à toutes et à tous !
Ayant participé à votre spectacle de nuit à Figeac lors de la nuit des musées je tenais à vous remercier profondément pour ce moment intense partagé avec vous et tous les autres" spec-acteurs "
Très touchée j'ai eu du mal à sortir de cette réalité et vous parler après était impossible comme si j'étais transportée dans une autre dimension ... J'étais dans l'INFINI .............
Votre présence , votre bienveillance , votre force et votre douceur, l'histoire racontée avec simplicité et une puissance incroyable , la proximité de vos corps soufflants, souffrants,heureux ou malheureux mais tellement beaux dans leur humanité, la magie du silence , et de la musique ... Les "mots/maux " pleins d'amour ou vides de sens mais remplis de "con - séquences "
J'ai été prise par une émotion de tristesse incroyable m'emportant dans cette" huma-unité" où on ne fait qu'un et à la fois une paix toute douce qui remplaçait petit à petit les larmes... Nous étions avec , ensemble et même le temps et l'espace n'existait plus car se rajoutaient les êtres portés par les photos , physiquement là ...
imaginons ... HORS CHANT, les hommes et femmes politiques dansant avec vous, se réveillant du cauchemar qu'ils ont créé , se retrouvant dans la vrai réalité hors de leurs murs....
Que vous soyez nourris longtemps par la force de vie qui traverse vos coeurs et vos corps !
Longue et belle route à votre compagnie
Christine
LES OISEAUX
Pièce créée en 2015 pour le marais de Bonnefont dans le Lot, adaptable dans différents lieux de nature.
Durée : 15’, 10 danseurs.
Les spectateurs doivent avoir les yeux bandés et se mettre à l’écoute d’une bande son qui voyage autour d’eux, entre eux, parfois tout près de leur peau, pour que les oiseaux daignent enfin apparaître
Ils sortent de leur réserve et pour peu qu’on les écoute, ils donneront à voir leur danse vive et légère, comme une confidence, un instant hors du temps. De leurs plumes soufflera un vent de liberté qui mystérieusement chatouillera vos pensées.


Et après la pluie
Une déambulation poético-sonore
« Et après la pluie ? » nous invite à un étrange voyage, à la rencontre de l’invisible, là où les sentiers s’arrêtent. Que savons-nous du pays des ombres, de la permanence des choses, des instants d’éternité… La pluie se fait battements de cœur, murmures de l’âme… Une expérience sensible vers un lointain, au-delà du temps, au-delà des choses, qui, de par son étrangeté, nous ramènera dans notre présent. Autrement.
Le spectacle « Et après la pluie ? » propose une déambulation sonore.
Les spectateurs, munis d’un parapluie « sonore » déambulent au rythme des sons et des émotions, croisant parfois leur propre reflet ou celui des gens de la pluie (8 danseurs).
La bande sonore plonge le spectateur dans une balade intime à partir d’extraits radiophoniques, de textes littéraires, de films etc.…
Durée environ 20 mn.
Une vingtaine de parapluies sonores sont disponibles (parapluies équipés d’un lecteur MP3 et casques audio).
« Et après la pluie ? »
Une question de lieux…
« Et après la pluie ? » a déjà été diffusée dans un jardin privé et ensuite dans un cimetière. En 2013, « Et après la pluie ? » a été proposée sous forme d’installation, enrichie d’une chorégraphie dans une salle de spectacle.
Suivant les lieux, la Cie Étadam propose éventuellement une « installation » : miroirs d’eau, installation vidéo, photos, objets divers etc…
Un jardin privé, un cimetière. Pourquoi ?
Être toujours à la recherche d’une mise en regard « distancié » sur ces lieux qui font partie de nos vies, de notre histoire, de notre mémoire… intime ou collective.

